Bac : les épreuves de mars, une course contre la montre
de Eléa Pommiers In Le Monde (Paris. 1944), 24284 (01/02/2023), p.11 Le point sur le déroulement des épreuves de spécialité du nouveau baccalauréat en mars, suite à la réforme mise en oeuvre par le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer : l'enjeu pour les lycéens des épreuves de spécialité, dont les notes comptent non seulement pour le baccalauréat mais vont aussi entrer dans leur dossier Parcoursup, et être scrutées par les formations de l'enseignement supérieur pour les décisions d'affectation dans le post-bac. Les difficultés au sein des établissements concernant l'organisation des épreuves de spécialité en mars : la pression des enseignants pour boucler les programmes en mars, au détriment du rythme d'apprentissage des élèves ; le stress des élèves face à la quantité et au rythme de travail ; la crainte d'une démobilisation des élèves après les épreuves de spécialité. |
Pommiers Eléa.
« Bac : les épreuves de mars, une course contre la montre »
in Le Monde (Paris. 1944), 24284 (01/02/2023), p.11.
Titre : | Bac : les épreuves de mars, une course contre la montre (2023) |
Auteurs : | Eléa Pommiers |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le Monde (Paris. 1944) (24284, 01/02/2023) |
Article : | p.11 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | |
Résumé : | Le point sur le déroulement des épreuves de spécialité du nouveau baccalauréat en mars, suite à la réforme mise en oeuvre par le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer : l'enjeu pour les lycéens des épreuves de spécialité, dont les notes comptent non seulement pour le baccalauréat mais vont aussi entrer dans leur dossier Parcoursup, et être scrutées par les formations de l'enseignement supérieur pour les décisions d'affectation dans le post-bac. Les difficultés au sein des établissements concernant l'organisation des épreuves de spécialité en mars : la pression des enseignants pour boucler les programmes en mars, au détriment du rythme d'apprentissage des élèves ; le stress des élèves face à la quantité et au rythme de travail ; la crainte d'une démobilisation des élèves après les épreuves de spécialité. |
Nature du document : | documentaire |